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LE COMITE NATIONAL DES REVENDEURS, VENDEURS ET ARTISANS DU BENIN POUR LA LIBERTE ET LE PAIN (CO.NA.RA.B)
Tél: Cotonou : 97 72 80 65; Porto-Novo : 66 68 70 62 ; Abomey : 96 57 67 11; Parakou : 66 98 31 14
Halte aux violences contre les revendeurs, vendeurs et artisans des villes!
Il n’est plus un secret pour personne aujourd’hui que les opérations de déguerpissement se déroulent dans un climat de terreur, d’arbitraire et de violence dans nos villes, surtout à Cotonou.
Pour inhiber toute velléité de résistances face à cet état d chose, le gouvernement de Patrice Talon déploie des contingents d’hommes en arme et même un char à jet d’eau chaude. L’assainissement que prônent le gouvernement et les gens à sa solde a-t-il besoin de tout ce déploiement ? Evidemment non.
Union Nationale des Scolaires et Etudiants du Bénin (UNSEB)
01 BP 1012 Cotonou, Tél: / 96252984/ 67844191/95270851/ ; Email : Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.;facebook: syndicat unseb
Enregistré au MISAT sous le N°94/168/MISAT/DAI/ASSOC du 05/10/94
SOUTIEN DE L’UNSEB A LA GREVE DES ENSEIGNANTS
Depuis quelques semaines, nos aînés enseignantes et enseignants de l’enseignement maternel et primaire sont en grève pour réclamer de meilleurs conditions de vie et de travail. Les mobiles de la grève sont liés aux principaux points que voici :
- Le respect des libertés syndicales;
- La prise des arrêtés d’applications du décret portant Statuts Particuliers des Corps Personnels de l’enseignement ;
- L’organisation des différents concours de recrutement (Enseignants, CAF-CP ; CAIP, Formateurs des ENI et consorts) pour mettre fin au déficit qui secoue le système éducatif.
LE COMITE NATIONAL DES REVENDEURS, VENDEURS ET ARTISANS DU BENIN POUR LA LIBERTE ET LE PAIN (CO.NA.RA.B)
Tél: Cotonou : 97 72 80 65; Porto-Novo : 66 68 70 62 ; Abomey : 96 57 67 11; Parakou : 66 98 31 14
LE SITE DE SYNAPOSTEL EST REELLEMENT EN LITIGE.
L’idée de faire occuper le site de SYNAPOSTEL par les vendeurs, revendeurs et artisans ne date pas d’aujourd’hui. En effet, elle remonte en 2010 où le gouvernement de Boni YAYI avait décidé par l’intermédiaire de la SOGEMA d’y loger les Bonnes dames, vendeuses de crevettes et de poisson de Gbogbanou, victimes de l’opération dite «d’aménagement des berges lagunaires » dirigée à l’époque par le Ministre de l’environnement Blaise AHANHANZO GLELE. Mais face à cette décision de la SOGEMA, ces vendeuses de crevettes et de poisson s’y étaient opposées et ont réussi à la suite d’une série de manifestation à avoir une place au bord de la lagune à Dantokpa.
ORGANISATION POUR LA DEFENSE DES DROITS
DE L’HOMME ET DES PEUPLES (ODHP)
2005 / 0061 / DEP - ATL -LITT / SG / SAG – Assoc-JORB N°4 du 15 février 2005
08 BP 1114 Cotonou (Rép. du Bénin)
Tél : (229) 97 68 49 31 / 97 39 10 22 / 97 26 36 20
INTERDICTION D’OCCUPATION DES ESPACES PUBLICS PAR LES RELIGIONS
UNE MESURE ANTICONSTITUTIONNELLE INJUSTIFIABLE
Dans la suite de l’opération de déguerpissement forcé des espaces publics, le préfet du Littoral, Modeste Toboula a fait déguerpir les fidèles musulmans en pleine prière le vendredi 27 janvier à la mosquée centrale de Cadjèhoun à Cotonou. Devant les protestations des fidèles, de leur clergé et de l’opinion nationale, le gouvernement monte au créneau pour s’expliquer. Dans leur sortie médiatique chacun des ministres y est allé dans tous les sens. Voyons quelques-uns de leurs argumentaires rapportés par les journaux. Le ministre Djogbénou dit notamment : « …quelques soient les confessions : musulmanes, chrétiennes et religions endogènes, l’expression de la foi ne doit plus consister en l’occupation des espaces publics. Nous le faisons en application de la Constitution. Nous le faisons parce que le Bénin, notamment nos grandes villes, ont vocation à être des villes modernes. Il n’est pas non plus dit, qu’il n’y aura pas des espaces pour exprimer sa foi. Il y a des espaces comme les stades…..Désormais, vous imaginez que les grandes manifestations, le chemin de la croix par exemple, ne devraient plus être faits dans l’occupation des espaces publics…. » (Le Matinal N°5010 du 30 janvier 2017). Le ministre de l’intérieur Sacca Lafia renchérit : « Que ce soit une messe d’anniversaire, de décès ou une prière musulmane dans la rue, pour de simples mesures de sécurité, le gouvernement l’interdit....Un quidam peut foncer avec son véhicule sur des musulmans en pleine prière au bord des routes…. » (Idem).
LE COMITE NATIONAL DES REVENDEURS, VENDEURS ET ARTISANS DU BENIN POUR LA LIBERTE ET LE PAIN (CO.NA.RA.B)
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LA SOGEMA ECRASE LES PAUVRES AU PROFIT DES PLUS RICHES !
Le plan du gouvernement du Président Patrice Talon est désormais clair. C’est celui d’écraser les pauvres vendeurs, revendeurs et artisans des villes du Bénin au profit des plus riches. Pour ce faire, le président Patrice TALON s’appuie sur la SOGEMA, son bras exécutant à Cotonou. En effet, à la suite du déguerpissement forcé de ces derniers, les dirigeants de la SOGEMA déclarent avoir des places disponibles pouvant accueillir un grand nombre sur le site de SYNAPOSTEL au PK3 à Akpakpa. Or, nous savons que depuis quelques années ce site dit de SYNAPOSTEL est en litige. Mieux, une décision de justice le rendant indisponible avait été déjà prise par nos tribunaux.
CONVENTION PATRIOTIQUE DES FORCES DE GAUCHE (CPFG)
Tél : 98 33 29 88/ 90 91 41 97
PCB, CDP, PSD-Bélier, CSTB, FESYNTRA-Finances, INIREF, UNSEB, UNAPEEB, ANADEC, ODHP, CCUMAB, CPCM, MFLPP
COMMUNIQUE DE PRESSE
ANALYSE CRITIQUE DU PROGRAMME D’ACTIONS DU GOUVERNEMENT TALON
REPONSE AUX JOURNALISTES CONTRADICTEURS
Le vendredi 20 janvier 2017, sont parus dans plusieurs journaux de la place des articles contre l’analyse critique du PAG publiée le mercredi 18 janvier par la Convention Patriotique des Forces de Gauche (CPFG). Le journal "l’Indépendant" écrit à ce propos : « La CPFG en déphasage avec la stratégie du gouvernement » ; "le Challenge" : « Critiques absurdes du PAG par la CPFG » ; "Nouvelle Expression" : « Les trois grands péchés de la Convention des forces de gauche » ; "Nord Sud Quotidien" : « La preuve que les Communistes ont fait une mauvaise lecture » ; "Le progrès" : « Le faux procès du CPFG » ; "La Nation" : « les choix pertinents du PAG » ; "La Presse du jour" : « la CPFG recadrée », etc. Si chacun des journaux contradicteurs y est allé sous des titres divers, les points de l’analyse de la CPFG mis en cause ainsi que les arguments jusque dans leurs expressions sont les mêmes. Le lecteur pouvait se perdre en conjecture à propos du commanditaire qui a pu obtenir un tel unisson de griots divers si, contrairement à tous les journaux cités, "La Presse du jour" n’a pas eu l’honnêteté déontologique de dévoiler clairement que le commanditaire n’est autre que la « direction de la communication de la présidence ».