MON ADRESSE AU PEUPLE BENINOIS A PROPOS DES ELECTIONS DE 2026
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TOUS CEUX QUI APPELLENT AUX ELECTIONS DE 2026 TRAVAILLENT POUR LE MAINTIEN DU POUVOIR DE LA RUPTURE !
Peuple du Benin,
Mes chers Concitoyennes et Concitoyens,
Depuis quelques jours, début juin 2025, nous assistons à cette scène que les partis UPR, BR et « Les Démocrates », prennent d’assaut nos villes et villages en campagne pour les élections générales de janvier 2026. Déjà, les mêmes scènes recommencent avec pour conséquences inévitables les mêmes effets. Le périple du porte-parole du Gouvernement, Wilfrid Léandre Houngbédji, ainsi que celui des ministres-conseillers dans tous les départements particulièrement ceux du Nord pour expliquer et présenter les « réalisations » du Pouvoir de la rupture rentrent dans cette ligne.
Décalage salarial et déclassement social comme l’une des causes de la corruption au Bénin
Par le professeur Paulin Hounsounon-Tolin:
_DIM INF
INTRODUCTION
En bon citoyen et en bon patriote, j’écris pour que l’Etat prenne ses responsabilités afin d’éviter un soulèvement populaire. Et cette fois-ci, j’aborde la question du décalage salarial qui implique le déclassement social des policiers et surtout des enseignants. En effet, l’avènement du renouveau démocratique au Bénin débuta très tôt la volonté politique de mieux rémunérer les acteurs et les postes politiques afin d’espérer d’eux de meilleurs rendements et de les mettre à l’abri de la tentation de la corruption. Cette politique eut comme inconséquence immédiate, le décalage entre la rémunération des acteurs politiques et le salaire des fonctionnaires de l’Etat. Ce décalage entraîna à son tour le déclassement social des fonctionnaires en général et plus particulièrement celui des instituteurs et des policiers dont les salaires ne leur permettent plus de tenir leur rang de cadres moyens de notre pays. Par ailleurs, les mieux rémunérés étant ceux qui trouvent les occasions de mieux se corrompre, la gangrène de ce fléau, qu’est la corruption, ne fait que s’amplifier.
COMMUNIQUE
NON A L’ESCAMOTAGE DE LA NECESSAIRE LUTTE CONTRE LA MAUVAINSE GOUVERNANCE
Le vendredi 28 juillet 2017, Léhady SOGLO, maire de Cotonou est convoqué et auditionné par le Préfet Modeste TOBOULA. Le même jour, il est suspendu de ses fonctions de maire par le Ministre de la Décentralisation Barnabé DASSIGLI, puis une horde de policiers et de militaires prend d’assaut son domicile de Cotonou. La présence sur les lieux, de personnalités et de responsables de partis politiques (FSP, PCB, FCBE PLP notamment), a permis de faire échec à une volonté d’arrestation.