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COMMUNIQUE
A Tous les Rois, Reines, Chefs de Terres et autres Dignitaires Traditionnels du Nord Benin
Leurs Majestés et Excellences,
Le samedi 04 mars 2017, le Président Patrice TALON a reçu, au Palais de la République, des « Rois et Chefs de terre Traditionnels des quatre départements du septentrion ». La presse parlée & télévisuelle et la presse écrite ont donné grand écho à cet événement, chacune y allant avec ses imaginations et affabulations. Le journal « La Presse du Jour » du lundi 06 mars a pu écrire : « ce sont tous les Rois et Chefs de Terre Traditionnels des quatre départements du septentrion qui ont fait le déplacement ... », souligné par nous. Il y a là des contre-vérités à relever.
Réformes institutionnelles: L’alerte de Michel Adjaka sur la révision de la constitution
Par Pascal Mensah 01 Mar 2017 à 22:23 2837
Le Président de l’Union nationale des magistrats du Bénin (Unamab), Michel Adjaka a réagi face au processus de révision de la constitution voulue par le pouvoir Talon.
Après la clôture du séminaire parlementaire à Dassa - un séminaire qui préparerait la révision de la constitution à en croire certains observateurs de la vie politique nationale- Michel Adjaka s’est insurgé contre une révision à huis clos de la constitution. Sur sa page facebook, le magistrat a fait savoir qu’on ne révise pas une constitution dans l’exclusion. Pour pouvoir résister aux aléas politiques, à l’usure et aux intempéries du temps, il estime que la constitution doit être publiquement toilettée, ce qui passe par un débat approfondi sur les nouvelles options politiques et un consensus sur la forme, l'esprit et la vision des nouveaux choix opérés.
S.O.S. ! Sauvez les responsables étudiants !
COMMUNIQUÉ
Nous, présidents de l'Union Nationale des Étudiants du Bénin (UNEB) et de l'Union Nationale des Scolaires et Étudiants du Bénin (UNSEB), informons le peuple béninois et la communauté internationale de la situation inquiétante que nous vivons depuis quelques jours.
En effet, nous recevons en permanence des appels et SMS de menaces venant des inconnues. De même, tous nos mouvements sont suivis de près par des personnes non encore identifiées qui nous filent de jour comme de nuit. Elles sont généralement à bord de véhicule personnel haut de gamme et prennent d'assaut nos zones de résidence respectives. Si depuis quelques jours, nous avons décidé de ne pas alerter l'opinion publique, les événements de la journée de ce mercredi 1er mars 2017 nous obligent à sortir de notre silence. Nous avons passé une journée difficile en courant de gauche à droite à la recherche d'abri, nos zones de résidence nous étant inaccessibles du fait de la présence desdites personnes. La chasse à notre personne s'est poursuivie jusque tard la nuit. Ce qui nous a obligés à fuir nos domiciles respectifs pour chercher refuge ailleurs.
LE COMITE NATIONAL DES REVENDEURS, VENDEURS ET ARTISANS DU BENIN POUR LA LIBERTE ET LE PAIN (CO.NA.RA.B)
Tél: Cotonou : 97 72 80 65; Porto-Novo : 66 68 70 62 ; Abomey : 96 57 67 11; Parakou : 66 98 31 14
Le gouvernement de Patrice TALON met les revendeurs de médicaments dans la désolation.
Le vendredi 24 février 2017 le gouvernement du Président Patrice TALON, s’est une fois encore, dressé contre les revendeurs de médicaments dans nos marchés. Sur toute l’étendue du territoire national les forces de l’ordre ont fait irruption sur les lieux de vente et ont saisi des tonnes de médicaments. Par endroit comme Adjégounlè à Dantokpa, le gouvernement a déployé tout un contingent d’hommes en armes et même de char à jet d’eau chaude prêts à réprimer toute velléité de résistance.
Ce qui est paradoxale est que la SOGEMA qui perçoit des taxes auprès de ces revendeurs sait bien le genre d’activité que ceux-ci mènent. Pire, elle n’a organisé aucune sensibilisation ni donner un délai au-delà duquel cette opération se ferait.
Au cours de cette saisie, beaucoup de revendeurs absents ont vu leur baraque défoncer en vue d’accéder à leurs stocks de médicaments. De nombreuses arrestations ont été opérées. Par ailleurs, certaines informations font état de ce que des sous ont été aussi pris avec les médicaments.
MESSAGE DU PRESIDENT DU CONSEIL D'ADMINISTRATION DE L'INSTITUT INTERNATIONAL DE RECHERCHE ET DE FORMATION (INIREF)
CELEBRATION DE LA JOURNEE INTERNATIONALE DE LA LANGUE MATERNELLE
APPEL AUX DEMOCRATES ET AUX PATRIOTES
Le 21 février 2017, l'UNESCO va célébrer la Journée Internationale de la Langue Maternelle. Dans le communiqué diffusé par elle à cet effet et pour motiver le thème, il est écrit : « L'UNESCO soutient l'enseignement en langue maternelle et l'éducation multilingue par le biais de la Journée internationale de la langue maternelle (JILM). L'objectif général de la Journée est de contribuer à la promotion de l'éducation à la citoyenneté mondiale.
La cérémonie d'ouverture de la célébration se tiendra au Siège de l'Organisation le 21 février 2017. Des activités visant à promouvoir l'enseignement en langue maternelle et l'éducation multilingue seront organisées au niveau national.
L'UNESCO organise la célébration de la JILM 2017 autour du thème "Vers des avenirs durables grâce à l'éducation multilingue". La Journée sera en phase avec "L'éducation pour les peuples et la planète : créer des avenirs durables pour tous", thème du Rapport mondial de suivi de l'UNESCO sur l'éducation 2016. La JILM fait également écho à l'objectif 4.6 des Objectifs mondiaux du développement (ODD) : "D'ici à 2030, veiller à ce que tous les jeunes et une proportion considérable d'adultes, hommes et femmes, sachent lire, écrire et compter. ».
COMMUNIQUÉ DE PRESSE
Le vendredi 17 février 2017, jour de la conférence de presse des étudiants prévue pour se tenir à l'hôtel "Le Refuge" sis à Zogbadje des forces de l'ordre lourdement armées ont fait irruption sur les lieux pour empêcher l'évènement avec au dehors des véhicules anti émeutes qui aspergèrent les étudiants et les populations environnantes d'eau chaude pimentée. Nous avons été surpris par cet arsenal militaire déployé pour empêcher une simple conférence de presse qui devait avoir lieu en dehors du cadre universitaire, surpris parce que jusque là nous nous croyions toujours dans un pays démocratique où la liberté d'expression est garantie.
Nous venons ici condamner avec la dernière rigueur cet acte qui n'a un autre nom que la dictature, la violation des libertés individuelles et collectives chèrement acquises. Nous remercions tous ceux qui ont spontanément dénoncé la chose. Ceci prouve que les béninois quelque soit leur bord sont attachés à la liberté d'expression.