DECLARATION DE COTONOU
Réunies à Cotonou les 24 et 25 Juillet 2015, et ce conformément à la Déclaration de Ouagadougou, sous le thème « Unité de luttes et solidarité comme une des réponses aux agressions du système capitaliste contre les travailleurs », les Confédérations et Unions syndicales de la sous-région Ouest-Africaine dont les noms figurent en entête rendent publique la Déclaration suivante :
Les Confédérations et Unions syndicales ont présenté la situation socio-économique dans leurs pays respectifs liée à « la mondialisation » et la vision néolibérale pourles travailleurs et les peuples. Il ressort de cette analyse les éléments suivants :
Signature de la Charte nationale du dialogue social par le gouvernement et les partenaires sociaux : La Cstb pose ses conditions à l’Exécutif
10 juillet 2015 par richard
Les responsables de la Centrale syndicale des travailleurs du Bénin (Cstb) disent être très ouverts au dialogue social pour l’amélioration constante des conditions de vie des travailleurs. Dans le même temps, la Cstb marque un doute sur le fait que la charte nationale du dialogue social par le gouvernement et les partenaires sociaux puisse être mise en œuvre par le gouvernement. Alors, elle réserve la signature de ladite charte à certaines conditions contenues dans la présente déclaration.
DECLARATION DE LA CSTB SUR L’ADOPTION D’UNE CHARTE NATIONALE DU DIALOGUE SOCIAL PAR LE GOUVERNEMENT ET LES PARTENAIRES SOCIAUX
1- La CSTB en tant que Confédération des travailleurs est très ouverte au dialogue social pour l’amélioration constante des conditions de vie et de travail des travailleurs.
2- C’est pourquoi depuis l’institution des Conseils Sectoriels de Dialogue Social (CSDS), il y a plusieurs années, elle y a toujours participé activement.
Ainsi elle y a défendu les libertés syndicales :
- Le droit de grève
- La lutte contre le chômage, la contractualisation,
- La précarité de l’emploi (les vacataires qui vivent dans la misère)
- La lutte pour les libertés démocratiques et syndicales
- Etc. …
NON ! LE BENIN N’EST PAS UNE REPUBLIQUE BANANIERE
Suite à la dénonciation des faits ci-après :