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ODHP : Communiqué au sujet de la co-organisation d'un rassemblement en solidarité avec le peuple togolais


ORGANISATION POUR LA DEFENSE DES DROITSDE L’HOMME ET DES PEUPLES (ODHP)
2005 / 0061 / DEP - ATL -LITT / SG / SAG – Assoc-JORB N°4 du 15 février 2005
08 BP 1114 Cotonou (Rép. du Bénin)
Tél : (229) 21 03 23 98 /97 26 36 20 18 /97 68 49 31
COMMUNIQUE DE PRESSE
La persécution politique se poursuit contre Laurent Mètongnon et ses co-accusés.
Le mardi 13 Mars 2018, le Dossier CNSS/BIBE passait pour la 4ème fois devant le Tribunal de Première Instance de Cotonou. La dernière audience remonte au 30 janvier dernier. Elle n’a pas prospéré au motif que les magistrats étaient en grève. A l’audience de ce 13 Mars 2018, il y avait trois Dossiers en dehors de celui de la CNSS/BIBE.
Philippe NOUDJENOUME
Premier Secrétaire du Parti Communiste du Bénin
Président de la Convention Patriotique des Forces de Gauche
ADRESSE X
Aux travailleurs et au peuple en lutte
Pourquoi le Président Patrice TALON est disqualifié pour lutter contre la Corruption
Travailleurs, peuple du Bénin.
Depuis son avènement au pouvoir en avril 2016, le Président Talon affiche, du moins officiellement sa « détermination à lutter contre la corruption ». Lors de ses rares sorties publiques, il n’hésite pas à le proclamer ; ainsi qu’il l’a fait dans son dernier message à la nation où il affirme poursuivre cette lutte « sans état d’âme ». A la dernière rencontre avec l’épiscopat béninois, il avoue lui-même être le produit de la corruption, mais qu’il est déterminé à l’enrayer. Et il place ses actions politiques (arrestations d’opposants, demande de levée d’immunité parlementaire de députés FCBE etc..) dans ce cadre.
Tout cela malheureusement n’est que du bluff. Et pourquoi ? Pour plusieurs raisons :
La première : le pouvoir de Talon est né de la corruption.
DECLARATION
A PROPOS DE LA MARCHE DES FEMMES ALLANT A LA PRESIDENCE DE LA REPUBLIQUE
Le 12 février, des femmes à l’appel de Thérèse WAOUNWA responsable du CONARAB et de Mathurine SOSOUKPE du MFLPP ont décidé d’une marche pacifique pour le 20 février 2018 pour aller à la Présidence de la République dire au Président Patrice TALON la gravité et l’ampleur de la faim et de la désolation dans les foyers au Bénin.
Toutes les formalités ont été faites. Mais ce jour 20 février au petit matin, les artères donnant accès à la Bourse du Travail, lieu de rassemblement, ont été prises d’assaut et barricadées par les forces de l’ordre, sans égard aux travailleurs et aux milliers d’élèves des nombreux collèges de la zone. Par ailleurs, des canons à jet d’eau sont déployés pour disperser la manifestation. Il s’agissait, par ce dispositif policier commandité par le pouvoir, d’empêcher, dès le départ, le rassemblement des manifestantes et ensuite disperser toute manifestation.
Crépuscule du matin N° 89 du 15 février 2018
Les travailleurs en lutte acculent le pouvoir autocratique de Talon à se révéler.
Le pouvoir de la ruse et de la rage pour piller le pays, se lance dans des assauts successifs pour tenter d’écraser tout sur son passage. Il a lancé une attaque conte les libertés d’association et de réunion, notamment en milieu estudiantin. Il a entamé des casses sauvages contre les outils de travail des artisans, leurs boutiques et hangars, etc. Il méprise les revendications et les luttes des travailleurs qui résistent.
Puis, il y a eu le réveil des couches studieuses et des travailleurs à travers diverses manifestations de colère. Les mouvements ont monté d’un cran avec la grève de la CSTB suivie plus tard par la grève générale des travailleurs qui se poursuit. Entretemps, le pouvoir a lui-même jeté l’huile sur le feu en décidant d’attenter à certains droits fondamentaux comme le droit d’aller et venir, le droit de manifester, le droit de grève. Les travailleurs et les jeunes ne se sont pas fait prier pour réagir.
Que revendiquent les travailleurs ?
Cotonou, le 29 janvier 2018
AKOHA Rock Mahugnon
RECOURS EN INCONSTITUTIONNALITE
A
Monsieur le Président,
Mesdames et Messieurs les Membres de la Cour Constitutionnelle du Benin
COTONOU
OBJET :
- Violation des articles 71, 73, 76, 77 et 113 de la Constitution béninoise du 11 décembre 1990 par le Président de la République
- Violation des articles 35 et 77 de la Constitution béninoise du 11 décembre 1990 par le Président de l’Assemblée nationale.
Monsieur le Président,
Conformément aux dispositions de l’article 114 de la Loi nº 90-32 du 11 décembre 1990 portant Constitution de la République du Bénin : « La Cour constitutionnelle est la plus Haute juridiction de l'État en matière constitutionnelle. Elle est juge de la constitutionnalité de la loi et elle garantit les droits fondamentaux de la personne humaine et les libertés publiques. Elle est l'organe régulateur du fonctionnement des institutions et de l'activité des pouvoirs publics » ;
Considérant que par les dispositions de son article 3 al 3, la Constitution reconnaît à « […] tout citoyen à le droit de se pourvoir devant la Cour constitutionnelle contre les lois, textes et actes présumés inconstitutionnels » ;
Qu’ainsi, nous avons l’honneur de déférer devant la haute Juridiction la violation flagrante et répétée de la Constitution béninoise du 11 décembre 1990 en ses articles 73, 76 et 77 par le Président de la République et 35 et 77 par le Président de l’Assemblée nationale ;
La Haute juridiction doit constater l’engagement de la responsabilité personnelle du Président de la République pour outrage à l’Assemblée nationale (I) et la complicité du Président de l’Assemblée nationale pour son grave manque de loyauté à la Constitution (II)
FRONT POUR LE SURSAUT PATRIOTIQUE (FSP)
Tel : 97 98 35 65 / 97 98 01 79
Communiqué de presse
MARCHE DU 23 JANVIER 2018, UNE GRANDE VICTOIRE SUR L’AUTOCRATIE
La marche organisée ce jour 23 janvier 2018 par le Front pour le Sursaut Patriotique « contre la gouvernance autocratique, affameuse et de pillage du Bénin par le pouvoir de Talon », a été une grande victoire sur le pouvoir autocratique et pilleur de Patrice TALON. En effet, alors que les formalités d’usage étaient réalisées en bonne et due forme avec un itinéraire précis, le Préfet escroc du Littoral, Modeste TOBOULA s’est répandu la veille sur toutes les télévisions et radios pour modifier l’itinéraire suivant les "lignes rouges" que lui et son patron Talon ont définies à Cotonou depuis leur arrivée au pouvoir. Dans ses interventions provocatrices, il interdisait à quelque manifestant que ce soit de passer ce jour sur le pont qui donne sur le marché DANTOKPA. Ce faisant, il voulait continuer dans la voie de la violation de la Constitution et du piétinement des conquêtes démocratiques du peuple béninois, notamment la liberté de manifestation.